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10/11/2021

Prendre une décision (2)

Prendre une décision, 2e partie : Mon coffre à outils

Je terminais la chronique Prendre une décision, 1re partie avec Bon, vous avez mis le doigt sur « votre problème », comment le réglez maintenant, quelle est la décision à prendre, comment la prendre, seul ou à l’aide d’autres personnes … ?

Dans cette partie, je vous offre quelques trucs, que vous connaissez peut-être (ce sera un rafraîchissement) ou sinon, vous les ajouterez à votre coffre à outils pour vous aider dans votre démarche.

Donc, après avoir cerné la difficulté, l’embarras, l’obstacle ou le problème qui vous occasionne des soucis, des maux… il faut se poser la question : suis-je en mesure de trouver des solutions possibles et prendre ma décision ?

Vous ne savez pas par quel bout commencer, vous avez peur de prendre une mauvaise décision, de regretter… !

Je vous propose donc des outils que j’utilise, que j’ai déjà essayés ou qui ont servi à d’autres ; nous sommes tous différents, alors il faut choisir l’outil ou les outils qui nous conviennent. L’important, c’est d’essayer, de croire et d’avoir confiance et surtout de se faire confiance.

Voici ce que je vous propose : La DÉDRAMATISATION, La PEUR, La VISUALISATION, La LISTE AVANTAGES-DÉSAVANTAGES, L’ILLUSTRATION, PRENDRE CONSEIL

!La DÉDRAMATISATION !

Définition : enlever ou retirer à quelque chose ou à un événement son caractère dramatique. L’objectif, c’est de changer sa perception des épreuves et difficultés, de voir les choses dans une perspective plus réaliste, d’arrêter de s’apitoyer sur son sort et de ne voir que les mauvais côtés des choses. Pour cela, répondre, par écrit, à quelques questions peut être profitable et avantageux. En voici quelques-unes et vous pouvez ajouter celles qui vous passent par la tête.

· Est-ce que je m’inquiète vraiment pour la bonne chose ?
Si je règle mon problème (ce qui m’inquiète ou me dérange ou ce qui peut arriver…), est-ce que je vais m’inquiéter pour une autre chose ? peut-être que c’est un excès de stress plutôt qu’un risque réel qui me fait voir (percevoir) ce problème (ou ce qui semble être un problème).
Est-ce que j’échangerais certaines choses pour faire disparaître ce problème… je pense à ce qui va bien dans ma vie… En focalisant sur ce qui va mal, j’ai peut-être parfois tendance à oublier ce qui va bien.

· Si j’étais reposé, est-ce que je serais moins affecté par ce problème ?
Peut-être que je vois la vie de façon négative, parce que je suis trop fatigué… qu’est-ce que je fais de mes journées, de mes semaines ? Est-ce que je m’en demande trop ?

· Ma façon d’agir et/ou mon attitude peuvent-ils être la cause de mon problème ?
Comment j’agis ou je réagis… Prendre du recul, rester calme permet de mieux juger.

· Ma perception de ce problème dans un an, quelle est-elle ?
Se projeter dans le temps, se transporter par la pensée dans l'avenir et prendre le point de vue imaginaire de la situation un an après. Peut-être que certaines choses m’apparaissent sans importance. Même chose pour le passé, si je pense à certaines épreuves passées, c’est souvent de vagues souvenirs sans importance. En faisant cet exercice de projection dans le temps, cela me permettra d’être dans une meilleure position pour me poser la question suivante : La situation est-elle aussi critique que je le prétends?

· Suis-je capable de trouver des solutions à ce qui pourrait arriver de pire ou de grave dans ma vie ?
Je prends une feuille de papier (ou l’ordinateur), je me fais 2 colonnes. Je note les pires choses qui pourraient m’arriver, par exemple : me perdre en voyage… et dans l’autre colonne, j’écris toutes les façons positives de composer avec la possibilité. Faire cet exercice avec plusieurs exemples différents permet de se préparer à toute éventualité.

· Ma vision de MA réalité est-elle complète ?
Ai-je des œillères, est-ce que je ne vois qu’une partie de la réalité ? Est-ce qu’il y a un point de vue qui amenuiserait ce problème ? Est-ce que certaines personnes, avec une perspective différente, ne verraient pas vraiment de problème dans cette situation ? Je pense à des personnes de confiance et j’essaie d’imaginer ce qu’elles en penseraient ou comment elles réagiraient.

· Mes attentes sont-elles illusoires ?
Faudrait-il que j'ajuste mes attentes ? Ai-je trop ou pas assez d’attentes ? Est-ce que j’exprime clairement ce que je veux ? Est-ce que je comprends bien ce que les autres attendent de moi et ce que j’attends eux ?

· Est-ce une opportunité d’apprendre ?
Beaucoup de circonstances désagréables, en apparence, contribuent en réalité à notre bien... je sais on entend cela souvent, mais quand même est-ce une opportunité de cheminer, c’est sur MON chemin, pourquoi ?
Pour me réveiller, pour me forcer à changer et à voir autrement… à découvrir ma vraie nature, à lever le voile, à sortir du placard ? Quels sont les efforts qu’il me faut faire pour que le résultat me fasse progresser vers un mieux-être ?

· Est-ce que je dois changer ma façon de vivre ?
Ai-je des croyances erronées, cachées ? Suis-je à côté du chemin, suis-je aveugle ou est-ce que je me cache des vérités ? est-ce que je suis en train d’y voir plus clair ?

· Qu’est-ce qui me motive à progresser ?
Ai-je besoin de me créer des problèmes comme une source de motivation au changement ? Quand tout va bien, est-ce que je stagne ?

!La PEUR

J’ai peur de prendre une mauvaise décision, cela me bloque ou m’empêche d’aller de l’avant ! Je me débarrasse de cette PEUR. Par quel bout commencer ? Encore là, je vais me poser des questions.

· Ai-je déjà été dans ce genre de situation ? Qu’est-il arrivé ? Qu’est-ce que j’ai fait ou qu’est-ce que je n’ai pas fait ? Ai-je agi ou réagi correctement ? Est-ce que je changerais quelque chose et quoi ?

· Quels sont les enjeux de cette décision pour moi ? Qu’est-ce que je peux gagner ou perdre en prenant cette décision (pour moi d’abord et pour les autres ensuite) ? Quels seraient les changements ou les conséquences (directes ou indirectes) pour moi d’abord et pour les autres ensuite ?

· Quelles alternatives s’offrent à moi si je prends telle ou telle décision ? Quelles sont les solutions possibles, quel est mon dilemme, ai-je une solution de remplacement ? Quels seraient les changements ou les conséquences (directes ou indirectes) pour moi d’abord et pour les autres ensuite ?

· Quelle est ma date limite pour prendre ma décision ? Est-ce que je me donne 1 jour, 1 semaine, 1 mois… ?
Il est très important de se donner du temps mais surtout ne pas sombrer dans la procrastination.
Quand on pense qu’on a trouvé (Eureka), c’est l'aboutissement d'un processus qui va de l'inconscient au conscient, et qui prend, à un moment donné, la forme d'une décision, d'une résolution. C'est le moment où l'on devient presque certain de sa décision. Presque, car il faut laisser la résolution mûrir pour s'assurer qu'on prend vraiment la bonne décision.

Plus la décision a de répercussions sur notre vie, plus l'ensemble du processus doit faire son chemin, cela peut durer plusieurs mois dans le cas d'un travail, plus d'un an dans le cas d'une séparation, et devrait au moins demander autant de temps dans le choix d'un conjoint ou devant la perspective d'avoir un enfant.

· Mon choix est fait.
Je liste les inconvénients (ennuis, soucis, contrariétés…) et les avantages (privilèges, pouvoirs, atouts…)

· À la date que je me suis fixée
Pour chaque alternative, je relis les enjeux, les avantages, les inconvénients. Je peux prendre, symboliquement, chaque décision dans une de mes mains (je préfère la droite, je ne sais pourquoi) et je soupèse ainsi chaque alternative et celle que je sens le mieux pourrait être le bon choix pour moi, car je me sens serein et en accord avec moi-même.

!La VISUALISATION

· Me voir dans le futur et me poser les questions : qu’est-ce que je veux avoir ou être d’ici 5 (10 ou 15 ou 20 ans), est-ce que je travaille au même endroit ou ai-je changé, est-ce que j’ai des enfants, suis-je dans la même situation… ? En visualisant mon futur, cela me permet d’imaginer différentes situations, par exemple : je m’imagine dans 5 ans avec un compagnon de vie ou une compagne de vie, comment cela se passe, quelles sont les concessions, les avantages, les désavantages que j’en retire… ou dans 5 ans, je m’imagine vivant seul, comment je me sens, quels sont les avantages, les inconvénients…

· Je pense à la décision que je veux prendre (avec les alternatives, enjeux…) et je me visualise dans le futur quand je prends telle ou telle décision. Comment ça se passe, où suis-je, quels sont mes sentiments, mes émotions, qui fait partie de ma vie… ?

· Ce que je fais régulièrement, c’est un arbre de décision en image ou en mots (que je découpe dans les revues).

!La LISTE DES AVANTAGES ET DES DÉSAVANTAGES (des POUR et des CONTRE)

Alors là, il faut que je sois le plus objectif possible et toujours avoir en tête mes priorités.

Donc, j’écris chaque décision possible avec les avantages et désavantages. Par la suite, j’essaie d’évaluer ce qui est le plus avantageux selon mes valeurs et ma réalité (pour moi-même et les personnes impliquées dans cette décision)

!L’ILLUSTRATION

Il est scientifiquement prouvé que notre cerveau conçoit en images toutes ses pensées -même les plus abstraites- avant de les traduire en mots. La réalisation de schémas mobilise les deux hémisphères du cerveau (le droit pour l’image, la vision globale, la couleur, l’émotion.../ le gauche pour l’analyse, les mots, la logique...) et fait travailler les deux hémisphères conjointement, en une synergie qui multiplie les facultés cérébrales.

Donc, que ce soit sous la forme d’un diagramme, d’une carte mentale, carte d’organisation d’idées, schéma conceptuel, carte sémantique, carte heuristique… le nom n’a pas vraiment d’importance, ce qui est important, c’est de pouvoir représenter notre idée ou nos propos par du texte, des phrases, des symboles, des couleurs, des images, des photos… sous la forme que l’on veut pour que ce soit visuel et visible.

Pour mes 50 ans, j’avais fait 2 cartes conceptuelles avec photos, images, textes qui représentaient ce que je souhaitais pour mon futur. Quelques années plus tard, j’ai réalisé que 95% de ce que je voulais à travers ces images s’était réalisé. Donc, pendant tout ce temps, j’avais en tête (même inconsciemment) cette programmation positive que je m’étais faite. Pour mes 60 ans, j’ai réalisé une autre série de cartes. J’ai créé 6 pages différentes que j’ai accrochées pour que ce soit bien en vue. Mes thèmes étaient : le succès, les finances, la maison, la famille et mon réseau, la santé et les activités ou loisirs. J’y ai collé du texte, des images et des photos qui représentent tout ce qui doit faire partie de chaque élément pour que cela se réalise. J’y travaille à tous les jours, ou je devrais dire, mon subconscient (et mon inconscient) y travaille à tous les jours. Vous pouvez faire la même chose pour prendre votre décision.

Je vous présente le concept du diagramme arbre décisionnel, selon Monie Turcotte que je trouve vraiment intéressant et visuel. Il suffit d’écrire les 2 alternatives possibles (vous pouvez vous faire plusieurs pages pour plus d’alternatives). Écrire les avantages et les désavantages de chaque option. Décrire concrètement ce que représente chaque avantage et désavantage. Y mettre de la couleur ou un % pour montrer l’importance accordée à chaque élément. Par exemple, accorde jaune pour ce qui n'a pas beaucoup d'importance, orangé pour ce qui nous paraît important, mais secondaire, rose pour ce qui nous semble très important…

Affichez cet arbre dans un endroit où vous pouvez y jeter un coup d’œil régulièrement, changez, modifier, ajoutez, enlevez, déplacez… au besoin ou selon votre humeur.

L a carte heuristique (du grec eurisko : je trouve) ou carte mentale ou Mind Maps (les 2 cartes présentées ici sont de Gideon King) permet de : représenter et d'organiser de manière graphique l'univers d'un concept tel qu'il est perçu par un individu ou plusieurs, de fournir une image plus «parlante» pour l'esprit, quand le langage écrit et parlé atteint ses limites descriptives, structurer et mettre en lien un grand nombre d'informations.

À vous de vous créer la carte qui correspond à ce que vous voulez.

!PRENDRE CONSEIL

Prendre une décision seul, sans en parler à personne, nous prive souvent d’un point de vue différent ou d’une objectivité ou d’une impartialité quant à nos choix ou à nos pensées.

C’est certain que nos décisions sont prises selon ce que l’on est (émotif, impulsif, rationnel, perfectionniste, indécis…), selon nos valeurs et selon notre vécu. Alors, il est très important de faire attention à sa zone aveugle et ainsi à aller naturellement vers une tendance et à négliger inconsciemment une autre (nous sommes humains après tout !). C’est pourquoi il faut démontrer de l’ouverture et ne pas négliger toutes les avenues possibles. Il faut aussi admettre que nous ne sommes pas toujours en mesure de prendre des décisions éclairées.

Ainsi, une personne rationnelle pourra privilégier l'analyse des conséquences logiques et éluder la phase consistant à mesurer l'impact de sa décision sur elle-même et sur les autres. Pour illustrer cela, on peut penser à une personne qui est tentée d'accepter un transfert dans une autre ville pour les avantages de la promotion, du salaire, de la progression de sa carrière, sans s'arrêter suffisamment aux effets qu'aura ce déracinement sur sa famille. Une personne intuitive et imaginative, stimulée à la perspective de générer des possibilités, pourra quant à elle avoir tendance à négliger la collecte des faits : pensez par exemple à la personne qui s'emballe devant un beau projet sans se demander quel est le budget disponible ou si elle peut effectivement ajouter ce projet à son horaire.

Donc, c’est pourquoi tout ce travail d'exploration ne se limite pas forcément à nous seul. Parfois, en pleine incubation d'un projet, d'un choix, on ressent le besoin de savoir comment d'autres que nous réagiraient dans la même situation. Cette méthode a du bon, car il faut parfois explorer ailleurs que chez nos proches, particulièrement si on considère une nouvelle vocation, un déménagement important, un changement de vie radical... Mais à qui s'adresser ?

Ça peut être un ami, un proche, un autre dirigeant, une personne se trouvant à un niveau similaire dans une autre entreprise, ou encore un membre de mon réseau professionnel, l’important c’est de choisir une personne de confiance pour prendre conseil et pour disposer d'un éclairage et d'un point de vue différents sur le problème.

On peut consulter une ou un ami. Mais pas n'importe qui : la personne qui est capable d'être neutre, honnête, détachée et qui a déjà pris une décision difficile dans sa vie, celle qui nous connaît bien et en sait suffisamment sur le contexte pour nous aider à faire notre choix, sans chercher à nous influencer.

On peut aussi avoir recours à de simples connaissances ou à de parfaits étrangers. Sans dire ouvertement ce qui me préoccupe, je pose des questions à droite et à gauche. J’apprends sans engager mon interlocuteur, sans lui demander carrément son avis. Il est enrichissant, dans ce cas, de consulter des personnes qui ont une expérience pertinente.

Prendre un avis extérieur permet de se rassurer. Le regard extérieur permet de prendre du recul dans la manière dont on appréhende un problème, tout en évitant de perdre du temps à réfléchir seul. Le tiers, par sa neutralité, peut mettre en évidence certaines de mes erreurs ou faiblesses sans que j’y perçoive une volonté quelconque de me nuire.

Mais attention, le tiers ne connaît pas toutes les informations, ni les tenants et les aboutissants, concernant la décision à prendre. Je ne dois donc pas prendre au pied de la lettre ce que me conseille le tiers. Il s'agit d'un éclairage supplémentaire, pas d'une solution.

Alors, ces renseignements, glanés auprès d'autrui, valent souvent une fortune, et les conseils de tous ces gens sont précieux... dans la mesure où ils se limitent à être des conseils et qu'on reste seul responsable de sa décision.

Mais surtout, il faut éviter les personnes qui nous jugent, qui nous remettent complètement en question, au point de nous faire douter du bien-fondé de la décision elle-même.

Si on a le sentiment de tourner en rond, pas de gêne à consulter un spécialiste, un expert. Idéalement, cette personne ne prendra pas la décision à notre place, mais nous incitera à aller plus loin, à nous poser les questions qui importent, et nous fera ainsi gagner énormément de temps.

Cela dit, il demeure que prendre des décisions est difficile, car choisir implique toujours de renoncer à quelque chose, surtout lorsqu'il s'agit d'un choix professionnel. Vous ne pourrez jamais savoir comment aurait pu être la suite des choses si vous aviez agi autrement. Il faut aussi savoir faire votre deuil du choix parfait, les compromis étant parfois nécessaires pour composer avec certaines de nos limites ou avec les éléments de la réalité sur lesquels nous avons moins le contrôle. De plus, la méthode présentée n'empêche en rien qu'une part d'irrationalité puisse entrer dans nos décisions. Prendre le risque de vos aspirations n'y fait pas exception.

Si l'hésitation persiste...

Vous ne parvenez pas à une solution satisfaisante. Il faut vous poser la question : y en a-t-il tout de même une vers laquelle j’incline, même légèrement ? Quels sont les risques si je la prends ? Peut-être n’êtes-vous pas prêt ou ce n’est pas le temps de prendre votre décision ! Alors, attendez ! Ça aussi, c’est prendre une décision. Vous pouvez vous demander aussi est-ce qu’il y aurait des actions à tenter durant cette période pour faire évoluer la situation. Dans les cas urgents qui requièrent une décision rapide, soupesez les risques de chaque solution et choisissez celle qui vous apparaît la moins mauvaise et pour laquelle vous vous sentez en mesure d'assumer les conséquences.

Indices d'une bonne décision

La bonne décision, c'est d'abord celle qui nous ressemble et qui tient compte des diverses dimensions de nos vies. Un coup de cœur musclé par la réflexion. C'est celle, aussi, qu'on prend avec la conviction intime qu'on fait un choix qui nous permet de progresser et qui nous donne la force d'aller vers toutes les autres décisions qui nous attendent.

Jamais nous ne saurons à 100 % si notre choix a été le meilleur. Toutefois, une bonne décision devrait nous laisser dans un état d'harmonie face à la situation. Nous devrions nous sentir en mesure de nous engager dans sa réalisation et d'assumer les difficultés qui pourraient surgir et avoir le sentiment qu'elle nous construit.

C’est toutefois en étant dans la réalité (dans le concret) que nous pourrons valider tout cela. Les nouvelles informations (le nouveau contexte, les nouvelles personnes impliquées, les nouvelles obligations…) nous permettront de nous réajuster en cours de route.

Je vous ai présenté quelques outils, il en existe bien d’autres, bien sûr. Il faut choisir ceux qui nous conviennent. Et l’important dans tout ce processus, c’est de faire l’effort de s’arrêter, d’analyser, de persévérer, d’y croire (de croire en soi), de faire confiance (de se faire confiance) et de trouver les moyens pour nous aider à y arriver.

Et surtout, c’est à nous qu’appartient la décision, c’est NOTRE décision !

Que nous soyons un enfant, un adolescent ou un adulte, tout part de notre cerveau qui doit prendre la bonne décision.

Selon Mac Lean, notre cerveau est divisé en trois couches (de la plus ancienne jusqu'à la plus récente) : reptilien, limbique, néocortex. Pourquoi l'information reçue, arrive à un résultat de bien-être, chez certains et de panique chez d'autres ?

Lorsqu'une information de l'extérieur arrive par l'entremise des cinq sens, elle est transportée jusqu'au cerveau sous forme de message nerveux.

Le problème c'est que cette information doit arriver au néocortex ou cortex cérébral (où se gèrent les décisions) et qu'elle doit passer par la barrière du reptilien (domaine des instincts, des impulsions et des compulsions), et celle du système limbique (où se gère nos émotions). Voir les chroniques sur le cerveau.

Sylvie Savard, pédagogue
Hypnothérapeute - Maitre-p
raticienne PNL (Approche Bonhâme) - Technicienne en Hypnose Humaniste. 


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Reçu : En naturopathie, reçu électronique -Membre de l'Association Ritma

Bibliographie

Fournier, Geneviève. Interagir, une stratégie efficace d'orientation et d'insertion professionnelle. Cahier d'intégration no 1 : la prise de décision. Sainte-Foy, Éditions Septembre, Presses de l'Université Laval, 1995.

http://edutechwiki.unige.ch/fr/Carte_conceptuelle

http://fr.wikipedia.org/wiki/Carte_heuristique

http://petit-bazar.unige.ch/www/0news/pedago/heuristique/utilisateur-cartes.pdf

http://rb.ec-lille.fr/l/CarteConceptuelle/cours-cartes_conceptuelles.pdf

http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/staf17/0102/ress/doc/p1_fad/cc.pdf

http://www.creativite.net/mindmap-schema-heuristique-topogramme-9/

http://www.ebsi.umontreal.ca/jetrouve/projet/cartes_m/probleme.htm

http://www.iaat.org/telechargement/guide_methodo/2_6_carte_conceptuelle.pdf

http://www.infirmiers.com/ressources-infirmieres/documentation/la-carte-conceptuelle-un-outil-de-developpement-de-la-metacognition.html

http://www.inventive-design.net/content/view/211/1/#1

http://www.novamind.com/connect/users/gideon

http://www.upopulaire.ca/06-avril-2010.html

Personnalité et relations humaines (PRH). Règles pour un discernement - Note d'observations. Poitiers, 1981 (document non publié).

Questions à se poser : http://evolution-101.com/Dedramatisez_vos_problemes.htm

Mes notes de cours de ma maîtrise en Intervention éducative.

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