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27/10/2021

Systèmes nerveux sympathique et parasympathique

Système nerveux végétatif ou autonome (systèmes nerveux sympathique et parasympathique)

Le système nerveux végétatif, qui est principalement sous la gouverne de l'hypothalamus, se subdivise en deux groupes de nerfs. Ceux-ci ont une localisation anatomique distincte et rejoignent leurs organes cibles par l'entremise d'autres neurones situés dans des ganglions.


LE SYSTÈME NERVEUX SYMPATHIQUE

Son activation prépare l'organisme à l'activité physique ou intellectuelle. Devant un stress important, c'est lui qui orchestre la réponse de fuite ou de lutte. Il dilate les bronches, accélère l'activité cardiaque et respiratoire, dilate les pupilles, augmente la sécrétion de la sueur et de la tension artérielle, mais diminue l'activité digestive. Il est associé à l'activité de deux neurotransmetteurs : la noradrénaline et l'adrénaline.

LE SYSTÈME NERVEUX
PARASYMPATHIQUE

Son activation amène un ralentissement général des fonctions de l'organisme afin de conserver l'énergie. Ce qui était augmenté, dilaté ou accéléré par le système sympathique est ici diminué, contracté et ralenti. Il n'y a que la fonction digestive et l'appétit sexuel qui sont favorisés par le système parasympathique. Ce dernier est associé à un neurotransmetteur : l'acétylcholine.

Le système nerveux autonome est directement lié au tronc cérébral où se situe notre subconscient et au centre émotionnel du cerveau. Ceci permet au système nerveux autonome de réagir rapidement et efficacement et à notre corps de s’adapter.

Lors d’une situation inhabituelle, le système sympathique dominera. Il visera à permettre au corps de prendre la fuite, donc tous les organes doivent être actifs, en éveil : les glandes surrénales par exemple, produisent plus d’adrénaline, les pupilles se dilatent, les muscles deviennent actifs, le coeur et les poumons sont mieux irrigués… En général, ce processus est bref et le système parasympathique réussit à tout normaliser : la production de salive et d’enzymes digestifs reprend et le chyme présent dans l’estomac et les intestins est à nouveau mis en mouvement par l’action péristaltique. Il est évident que le système nerveux se dérègle si le système sympathique est trop souvent sollicité.

Et la respiration dans tout cela ? Nous le savons, notre respiration est influencée par ce que l’on est, vit, fait, ressent, anticipe… : stress, exercices, émotions… et notre respiration peut avoir une influence sur nos systèmes sympathique et parasympathique.

Toute personne qui respire, vit et selon sa respiration vit plus ou moins bien.

Qu’est-ce qui se passe au niveau de notre système nerveux autonome quand notre respiration est superficielle ou lente et profonde ?

En temps normal, nos systèmes nerveux sympathique et parasympathique sont en total équilibre, mais il arrive que l'un ou l'autre prenne le dessus, comme lors d'une montée de stress.

Lorsque notre inspiration et notre expiration sont superficielles, cela active le système nerveux sympathique qui nous fait sécréter de l’adrénaline et de la noradrénaline, entre autres. Nous faisons, comme on dit : une montée d’adrénaline.

Quand notre inspiration et notre expiration sont lentes et profondes, cela active le système nerveux parasympathique, ce qui permet la libération d’endorphines qui a pour fonction de donner une euphorie, un oubli de la douleur qui permet de se surpasser soi-même, de se calmer.

Système nerveux sympathique

La montée d'adrénaline est une conséquence de l'affolement du système nerveux sympathique, qui brise l'équilibre et devient dominant. Le système nerveux sympathique, qui accélère le fonctionnement des organes, va donc prendre l'ascendant sur celui qui les ralentit, le système nerveux parasympathique. Donc, les pupilles se dilatent, on devient très pâle, notre rythme cardiaque et notre pression artérielle augmentent considérablement.

Un peu d’adrénaline ou de noradrénaline dans le cerveau est utile : cela crée l’état d’alerte, augmentant l’attention, la vigilance.

L’état d’alerte permet de se concentrer sur la source de stress : au départ, c’est une réaction utile, tous les moyens intellectuels sont concentrés sur la résolution du problème en question. Mais... cela peut aussi se traduire par un ruminement incessant des griefs, des craintes, des problèmes : on ne voit plus que le stress, ce qui le renforce.

Si la production de ces substances est répétée, la personne est constamment sur le qui-vive. Au moment de dormir, la personne ne peut trouver le sommeil, elle se tourne et se retourne en vain : c’est l’insomnie. Après plusieurs nuits de mauvais sommeil, la personne commence à traîner une fatigue chronique, provoquant une diminution de sa concentration et une diminution de sa capacité de récupération.

Ainsi, si un peu de ces substances permet d’avoir une activité intellectuelle plus rapide, plus efficace, un excès engendre de la confusion : les idées se bousculent sans ordre ce qui, associé à la baisse de concentration, explique le nombre d’erreurs que peuvent faire certaines personnes stressées.

On observe également souvent une hypersensibilité chez les personnes stressées, un rien les fait réagir. Pourquoi ? À la suite d’un stress incontrôlable, la quantité de noradrénaline produite est très importante, et bouleverse les cellules cérébrales. Dès lors, le moindre stress, qui induit une production de noradrénaline en faible quantité, provoque les mêmes effets qu’une « inondation » de noradrénaline. Ainsi, tout devient stressant.

Enfin, il peut y avoir un épuisement des cellules nerveuses fabriquant la noradrénaline. C’est alors la déprime, on croit qu’on ne s’en sortira jamais, qu’il n’y a rien à faire. Ces croyances vont faire basculer l’organisme de la réaction d’urgence à la réaction d’adaptation.

Ouf ! Peut-on y faire quelque chose ? Certainement !

Système nerveux parasympathique

Vous avez sûrement déjà entendu cette phrase quand quelqu’un est stressé ou l’avez-vous dite : « Calme-toi, respire par le nez ! » Sans le savoir ou sans en être conscient, nous prenons une grande inspiration et nous expirons profondément… cela semble suffisant pour retrouver rapidement notre calme.

En effet, quand notre inspiration et notre expiration sont lentes et profondes (respiration abdominale), cela active le système nerveux parasympathique, ce qui permet de libérer des endorphines (courtes chaînes d'acides aminés) ; on les qualifie « d'opioïdes » car elles ont une action similaire à celle de l'opium et de la morphine. Les endorphines semblent avoir pour fonction de donner une euphorie, un oubli de la douleur qui permet de se surpasser soi-même.

Quand le système nerveux parasympathique est dominant, au pire, cela nous rend plus insensible aux agressions et tentations extérieures et au mieux, cela bloque les effets négatifs du système sympathique.

C’est la porte d’entrée de la méditation et de tous les états transcendantaux. Peur, colère et désirs inutiles s’évanouissent sous la douceur de ce souffle. Donc, en pratiquant la respiration abdominale ou complète, c’est un moyen, parmi d’autres, de se débarrasser du stress... et ça ne coûte rien. Il suffit d’être discipliné, tenace et décider d’être conscient de notre respiration.

En conclusion…

Quand on est stressé, souvent, on bloque notre respiration. Notre respiration est rapide et superficielle voire même hyperventilée, un déséquilibre au niveau de la composition du sang (manque de CO2) entraîne une alcalinisation du métabolisme corporel. Un métabolisme trop alcalin apporte une augmentation du calcium dans les muscles et les nerfs, ceux-ci deviennent hyperactifs : muscles tendus. Une surexcitation nerveuse entraîne des actions hâtives, de l'hyperactivité…etc.

Si nous respirons avec le diaphragme, d’une respiration ample et profonde (respiration abdominale), la quantité de dioxyde de carbone et de dioxygène contenus dans le sang correspond exactement aux besoins de l’organisme. En particulier, l’acidité du sang retrouve sa valeur normale, ce qui permet de détendre les muscles. (pH équilibré)

En donnant à notre corps l’ordre de respirer tranquillement, nous « désamorçons » le système sympathique. Par conséquent, nous agissons sur les poumons et cela se répercute sur tout l’organisme : les muscles, le coeur, le tube digestif, etc. Les poumons sont capables d’inactiver 90 % de la noradrénaline en une respiration : il est vraisemblable que le travail sur la respiration peut aussi agir par ce biais.

La respiration abdominale libère des endorphines, il y a aussi : l’exercice, le plaisir, l’amour, le rire qui jouent ce rôle ! Elles ont le pouvoir d'atténuer la douleur, quasiment comme une morphine naturelle. Elles engendrent également une importante réduction du stress et provoquent le sommeil.

Maintenant, dans toutes les situations de la vie, pensons à notre respiration et soyons conscients de ses bienfaits ! C’est une amie qui nous veut du bien !

Inspirons la vie !

Sylvie Savard, pédagogue
Hypnothérapeute - Maitre-praticienne PNL - Technicienne en Hypnose humaniste.


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Bibliographie

http ://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_01/i_01_cr/i_01_cr_ana/i_01_cr_ana.html#2
http ://www.yoga.lu/1024htms/fr/pranayam.htm
http ://www.i-stat.com/products/ctisheets/714177-03F.pdf
http ://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/glucose-lipides/gluclip.htm
http ://www.cvm.qc.ca/gconti/103/04basbio/B310SNA.JPG
http ://www.entregars.com/cournoyerriredesfemmes.htm
http ://www.linternaute.com/science/biologie/dossiers/06/0611-neurones/9.shtml
http ://dictionnaire.doctissimo.fr/definition-Systeme-nerveux-sympathique.htm
http ://perso.orange.fr/algoneurodystrophie/sysnerveux.htm
http ://www.colvir.net/prof/chantal.proulx/701/chap5_contenu.htm#sympathique
http ://www.francaise-bio-energetique.com/systeme-nerveux-veget.htm


Stress (1) Introduction, historique et c’est quoi le stress

Le stress (1) Introduction, historique et c’est quoi le stress

Introduction


Notre but dans la vie, n’est-ce pas d’être heureux ?

Au lever ou au coucher ou à tout moment, nous avons le pouvoir sur le déroulement de notre journée ou de notre nuit : joies, peines, plaisirs, déplaisirs ? Certains diront qu’ils n’ont pas le choix, que c’est ça la vie ! Est-ce possible de voir autrement ? C’est notre choix. C’est nous qui décidons.

Certaines personnes vivent des événements douloureux, difficiles ; elles appréhendent, anticipent, scénarisent… et c’est souvent le pire qu’elles imaginent, elles broient du noir. D’autres prennent mieux les événements, cherchent des solutions, apprécient ce qu’elles ont, ce qu’elles sont, dosent… vivent le moment présent et sont heureuses ; elles voient la vie en rose. Pourquoi cette différence d’attitude ou de vision ?

Notre hérédité, notre éducation, notre environnement familial, social, professionnel, les gens rencontrés ou croisés depuis notre naissance (même avant pour ceux qui y croient), les événements heureux ou malheureux qui parcourent notre vie, nos valeurs, nos croyances, notre perception de nous-même et du monde qui nous entoure … ce cadeau laisse des empreintes, des traces plus ou moins profondes et influence notre vie actuelle. Est-ce possible de changer ou d’améliorer cela ? C’est à chacun de décider. C’est son choix.

Nous pouvons tirer une leçon de ces événements au lieu de nous y accrocher, avancer au lieu de reculer, accepter au lieu de refuser de voir la vérité, accepter au lieu de nier notre pouvoir, pardonner (et pardonnons-nous) au lieu de juger (et de nous juger), autoriser au lieu de condamner, prendre le temps de réfléchir au lieu de nous disperser. Soyons l’observateur de notre vie au lieu de nous y noyer, retenons ce qui est utile, voire essentiel, et rejetons ce qui est inutile, voire accessoire, pour notre bien-être. Intéressant, tentant ! C’est à chacun de décider. C’est son choix.

D’abord, nous pourrions répondre à ces questions : ai-je le goût de changer, de voir autrement, est-ce que je veux : être heureux, m’améliorer, évoluer, vivre dans un environnement sain, m’investir… ?

Si nous répondons positivement à l’une de ces questions et si cela a un sens pour nous, abandonnons-nous au bonheur. C’est à chacun de décider et de prendre la décision de son évolution.

Nous pouvons, dès maintenant, tirer un trait sur notre passé, nous servir de ces leçons de vie pour avoir un futur tel que nous le souhaitons. C’est à chacun de décider. C’est son choix.

Ce que je propose ne coûte rien, vous devrez tout simplement investir en vous, pour vous. Vous devrez vous autoriser un moment d’attention pour une autocritique, pour croire en vous et en votre pouvoir d’atteindre le bonheur que vous désirez.

Pour parvenir à ce bonheur, par où faut-il commencer ? Gérez toutes les informations qui vous arrivent de toute part, qui vous causent un stress, et sachez prendre les meilleures décisions. Plus facile à dire qu’à faire, vous me direz ! Suivez-moi, vous verrez bien !

Vivre, c'est s'adapter.

S’adapter à quoi ? Au stress ! ! !

Historique

C’est un médecin canadien d’origine hongroise, Hans Selye (1907-1982), qui découvrit ce phénomène physiologique et lui attribua le nom de « stress ». Sa première publication scientifique sur le sujet date de 1936. Le stress, syndrome général d’adaptation, ou syndrome d’adaptation de Selye, désignait à l’origine la réponse ou réaction non spécifique de défense se déroulant à l’intérieur de l’organisme. Puis la signification du terme s’élargit pour englober l’agent responsable de cette réaction.

Les causes du stress sont extrêmement nombreuses, variables d’un sujet à l’autre et non spécifiques : accident, intervention chirurgicale, maladie, conditions de vie difficiles, etc.

Les mécanismes du stress se situent au niveau des systèmes nerveux, endocrinien et immunitaire. Le promoteur de la réponse est l’hypothalamus, qui active l’hypophyse, laquelle stimule à son tour la glande surrénale. La partie périphérique de la glande surrénale (corticosurrénale) synthétise des hormones corticoïdes, essentiellement le cortisol. Sa partie centrale (médullosurrénale) élabore la noradrénaline, et surtout l’adrénaline. Toutes ces hormones influencent directement l’activité des organes, en complément des effets que produit le système nerveux par l’intermédiaire des nerfs. Il en résulte différentes manifestations cliniques (observables extérieurement), par exemple au niveau du cœur.

Hans Selye a identifié trois phases dans l’état réactionnel face à l’agression.

Au premier stade, appelé réaction d’alarme, l’organisme reconnaît l’agression, se prépare à agir (soit à combattre, soit à fuir), puis met en œuvre la défense. Le délai minimal de réponse est de quelques minutes. Les glandes endocrines libèrent des hormones qui accélèrent les rythmes cardiaque et respiratoire, élèvent la glycémie, augmentent la sudation, dilatent les pupilles et ralentissent la digestion.

Au deuxième stade, appelé résistance, l’organisme s’adapte à un agent agresseur persistant, et régule les perturbations provoquées par la réaction d’alarme.

Si l’agression ne s’arrête pas, le corps demeure en alerte et ne peut plus compenser les dommages provoqués par cette alerte. La phase de résistance se poursuit, puis cède la place à la troisième phase d’épuisement. Une agression prolongée affaiblit notamment les réserves énergétiques de l’organisme, du fait de la dépense occasionnée par la réponse à l’agression.

Tout ce qui nous entoure et qui nous parvient est source de stress, cela fait partie de notre quotidien et un stress minimum est nécessaire afin de nous permettre de répondre aux sollicitations de la vie quotidienne. Imaginez-vous si absolument rien ne venait vous stimuler ? Le stress fait partie de notre vie et c’est tant mieux, car il nous permet de vivre. Est-ce bon ou mauvais ? C’est bon et c’est mauvais, tout dépend comment nous recevons, accueillons, interprétons ces messages qui nous arrivent de nos cinq sens : vue, ouïe, odorat, goût, toucher.

En effet, le stress a un côté positif, car sans lui la vie serait ennuyeuse ; il est un stimulant fructueux, à l'origine d'apprentissages nouveaux et de performances multipliées. Le stress est un défi nécessaire au développement de la personnalité et à l'utilisation optimale des ressources de chacun.

Le stress peut aussi avoir mauvaise réputation et il a une connotation négative : être stressé, c’est être tendu, angoissé, inquiet, mal dans sa peau. Quand je ne suis pas bien dans ma peau, quand je suis en train de me désorganiser, je ne suis pas heureux et je tends à agir sur mon environnement pour conserver ma structure.

Face à l'accumulation de stress quotidiens, il arrive que nous nous sentions accablé et submergé par ces agressions répétitives, nous avons un sentiment de mal-être qui nous prive de notre pleine capacité à gérer ces situations de stress. Devenus vulnérable, nous sentons peu à peu s'installer ce mal-être qui se traduit sous des formes diverses : irritabilité, agressivité, anxiété, oppression, sommeil perturbé,etc... Nous nous sentons comme pris dans un cercle vicieux où il semble qu'un petit rien suffirait pour tout faire chavirer.

Vous serez d’accord avec moi si je vous dis qu’une même situation est perçue et vécue de façon tout à fait différente selon les personnes et que les stresseurs d'aujourd'hui sont tous relatifs, chaque personne interprète sa situation selon sa réalité du moment. Comment s’y prend chaque personne pour trier, séparer, sélectionner, répartir ces signaux reçus ?

Qu’est-ce que nous laissons pénétrer en nous ? Comment vivons-nous avec ce que nous laissons s’infiltrer en nous ? Sommes-nous en accord avec nous ? Ce stress, qui fait partie de notre vie, c’est quoi, comment démêler tout cela, comment s’y retrouver ?

Voici les éléments que je vous propose de regarder ensemble : Le stress, c’est quoi ? Ça vient d’où ? Le bon et le mauvais stress. Qu’est-ce qui se passe dans mon corps, dans mon esprit, dans mon âme lorsque le stress s’installe ? Le cerveau comment compose-t-il avec le stress et peut-il avoir une importance au niveau de notre gestion du stress ? Mon système immunitaire en prend-il un coup ? Est-ce que nos malaises, nos maladies sont une conséquence de notre incapacité à gérer correctement notre stress ? Des trucs pour gérer son stress…

Qu’est-ce que le stress ?

D’abord, regardons quelques définitions

Encyclopédie Universelle

Réaction de l'organisme à un agent d'agression ou à un traumatisme quelconque. En fait, stress tend, progressivement, à devenir synonyme d'émotion, le sens de ce dernier s'étant très affaibli. Il est employé aussi, dans un sens plus spécifique, pour désigner les tensions engendrées par des conflits internes non résolus ou des situations insolubles et provoquant des états d'anxiété, voire des états névrotiques. 

Encyclopédie Encarta

Agent ou processus physique, chimique ou émotionnel qui s’exerce sur l’organisme et provoque une agression ou une tension pouvant devenir pathologique. 

Dictionnaire Larousse

Réponse de l'organisme aux facteurs d'agression physiologiques et psychologiques ainsi qu'aux émotions (agréables ou désagréables) qui nécessitent une adaptation (élément de la théorie du syndrome d'adaptation). 

Dictionnaire de médecine Flammarion

Agression contre un organisme vivant ; par extension : réactions biologiques et psychologiques d'un organisme face à une situation nouvelle de quelque origine qu'elle soit, dangereuse ou agréable.

Hans Selye, découvreur du syndrome général d'adaptation ou stress

Le stress est la réponse non spécifique de l'organisme à toute demande. Par définition, il ne peut être évité. La complète liberté par rapport au stress, c'est la mort.

Et quoi encore ?

Le stress, c'est la réponse de l'organisme à une demande qui lui est faite : le froid, le chagrin, un effort physique, un médicament, une bonne ou mauvaise nouvelle, un échec ou un triomphe, une course à pied ou un orgasme... Le stress est une réaction à toute espèce de demande. Il s'agit de maintenir la stabilité de l'organisme.

Si l'organisme est maintenu en état d'alerte à l'année longue, il s'use. Aucun organisme ne peut survivre en état d'alerte continuelle. Tout cela exige une énergie d'adaptation considérable.

Comme le stress est la réponse de notre organisme face à des stimulations, qu'elles soient internes ou externes, c’est donc un signal d'alarme, indiquant à notre corps la nécessité de réagir. Le stress est une réaction physiologique et le surmonter permet de nous adapter à notre environnement. Les contraintes peuvent être physiques et/ou psychologiques. Faut-il à tout prix éviter le stress ? Imaginer une vie sans aucun stress, c'est imaginer une vie sans réussite, ni satisfaction. Éviter le stress n'est ni possible, ni souhaitable… l'inactivité et l'ennui que cela supposerait peuvent être tout aussi stressants qu'un surmenage !

À quoi ça sert alors ?

Chez les animaux, le stress permet de mobiliser leurs ressources et leur énergie, soit pour fuir, soit pour combattre. Le mécanisme est le même chez les humains : le stress, en mobilisant notre attention, nous permet de faire face aux changements. Le stress, c'est toujours négatif ? Heureusement non ! Le stress est un moteur, il permet de mobiliser nos compétences pour l'action.

Le stress est donc une réaction normale et même salutaire pour la survie de l’individu. Le stress est une stimulation ponctuelle, agressive ou non, (détresse ou eustress) qui déclenche un ensemble de réactions non spécifique de l'organisme impliquant des réponses neuronales, neuroendocrines, métaboliques et comportementales. Ces réponses se rassemblent dans le syndrome général d'adaptation au stress qui permet à un individu de faire face au stress/stresseur de manière plus ou moins adaptée.

Bon stress – mauvais stress

Le stress est une réponse de l'organisme face à des stimulations extérieures qui lui sont faites. Parler de stress se fait souvent en termes négatifs. Pourtant, le stress recouvre deux situations différentes : bon stress - mauvais stress. Dans les deux cas, il est utile, il est là pour quelque chose, quelque chose qu’il faut comprendre…

Bon stress ou stress positif

Tout ce qu'on accepte de faire avec plaisir, en harmonie avec soi-même. Ce sont les stimulants, les sources de réussite, de joie, etc. Par exemple, le trac des artistes et des sportifs avant une représentation ou une épreuve. Le stress joue un rôle important dans la concentration et la mobilisation de leurs ressources. C’est l'harmonie, l'enthousiasme, l'optimisme, l'assurance, l'accord, la maîtrise, la joie, la santé et l'énergie.

Mauvais stress ou stress négatif

Stress qui s’installe, qui se fait un nid… qui nous envahit.

Tout ce qui déplaît, représente une contrainte, ou se fait en opposition avec soi-même. Ce sont des freins ainsi que des causes de déséquilibre psychique et physique, de tristesse, de souffrance, etc. Un travail lassant ou astreignant, des relations professionnelles difficiles et conflictuelles sont à ranger dans cette catégorie. C’est la peur, la culpabilité, le chagrin, le ressentiment, l'abandon, la frustration, la colère, la division, la déception, la jalousie, le désaccord, la tristesse, les pathologies et le manque d'énergie.

Du bon ou du mauvais stress, cela dépend de nous :

De la manière dont nous percevons et interprétons les choses ;

De la façon dont nous nous adaptons à la situation ;

De l'adéquation de nos réactions avec nos capacités physiologiques et psychologiques. En un mot de la façon dont nous gérons notre stress !


Sylvie Savard, pédagogue
Hypnothérapeute - 
Maitre-praticienne PNL (Approche Bonhâme) - Technicienne en Hypnose Humaniste. 

 
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Reçu : En naturopathie, reçu électronique
Membre de l'Association Ritma

26/10/2021

Stress (3) Signes et symptômes, conséquences, répercussions, effets

Le stress (3) Signes et symptômes, conséquences, répercussions, effets

Le stress ne se détecte pas aussi facilement qu'une otite ou une sinusite. C'est bien là toute


sa 
complexité. De plus, les signaux d'alarme varient selon chaque individu et les réactions dépendent, bien sûr, des facteurs héréditaires, de notre histoire, notre passé médical, notre environnement affectif et notre mode de vie.

Selon l'American Institute of Stress, le stress est à l'origine de 75% à 90% des consultations médicales et de 60% à 80% des accidents de travail. Il faut donc prendre le stress au sérieux et ne négliger aucun moyen pour le réduire.

Pour faire face au stress, il faut comprendre ce qui se passe. Ces signes de stress peuvent donner des indices qui peuvent être utilisés pour modifier notre réaction à celui-ci. Il est certain qu'un symptôme isolé n'est pas révélateur de stress, en fait, un individu stressé développe une multitude de symptômes.

Lorsque le stress est présent, il est nécessaire de s'en défaire au plus vite ou de le diminuer. Généralement, inconsciemment, l'individu stressé trouve une « stratégie d'ajustement » pour libérer la tension nerveuse. Par exemple, au restaurant, lorsque le service est un peu long il n'est pas rare de voir les gens jouer avec leur serviette, faire des boulettes avec le pain ou boire plus souvent.

Plus le nombre de symptômes est important et plus nous sommes dans un état de stress qui nécessite d'agir ou de réagir pour retrouver notre équilibre. Attention, un stress ne s'améliore jamais tout seul, même si nous le laissons derrière nous et l'oublions (ou nous nous forçons à l'oublier, nous faisons semblant…), cela laisse des traces, des déséquilibres, des symptômes dans notre corps, à travers nos émotions, nos ressentis... des messages qu’il faut décoder.

Ce sont autant de déséquilibres qui s'accumulent et qui avec le temps sont de plus en plus difficiles à résorber, et qui nécessiteront donc plus de temps et de moyen pour retrouver un bon niveau d'équilibre. L'habitude d'être stressé renforce cette même habitude.

Lorsque nous nous sentons stressés, nous présentons habituellement des symptômes physiques : fatigue, maux de tête, maux d'estomac ou de dos, serrement des mâchoires ou grincement des dents, développement d'une irritation cutanée, épisodes répétées de rhume ou de grippe, spasmes musculaires, tics nerveux, problèmes d'insomnie…

Et nous avons aussi d'autres signes :

Signes mentaux : sentiment d'oppression, difficultés de concentration, distraction et difficulté à prendre des décisions.

Signes émotionnels : sentiment de colère, frustration, tension, anxiété et agressivité plus vive que d'ordinaire.

L'individu qui doit jongler avec les engagements professionnels, une vie sociale et l'éducation des enfants peut tout simplement aboutir à ne pouvoir consacrer en fait ni assez de temps ni assez d'énergie à aucune des ses tâches.

Le stress devient un problème lorsque nous nous sentons submergé par les événements qui nous arrivent : tendu lorsqu'il semble qu'il y en a trop à faire à la fois et ne pas savoir trop comment s'y prendre, incapacité à équilibrer les demandes en conflit.

Le stress affecte les individus comme les entreprises.

En effet, une entreprise confrontée à un fort taux d'absentéisme, une rotation rapide de son personnel, une détérioration de ses relations avec ses fournisseurs et ses clients, un nombre croissant de problèmes de sécurité ou une très faible qualité de ses produits ou services souffre de stress organisationnel.


Répercussion du stress sur la santé et le moral

La plupart des troubles les plus fréquents découlent directement de longues périodes de stress. De même, un stress prolongé augmente les risques de troubles psychologiques ou psychiatriques.

Les modifications de comportement liées au stress, telle une consommation excessive de café, d'alcool ou de drogues, entraînent également une dégradation progressive de la santé physique, et une personne soumise à un niveau de stress supérieur à la normale présente plus de risques de dépendance à l'alcool. Or l'abus d'alcool, comme vous le savez sûrement, engendre de graves troubles physiques mais aussi relationnels, qui augmentent le stress, à la maison comme au travail.

Les tranquillisants et les calmants sont très efficaces pour un traitement ponctuel des symptômes d'anxiété mais présentent des risques de dépendance et d'effets secondaires (difficultés de concentration et de coordination, vertiges) et ne remédient pas au stress car ils ne s'attaquent pas à ses causes profondes.


Nous avons des signes annonciateurs d'un état de stress, il faut les reconnaître.

Les signes précoces

Certains signes précoces sont physiques et perceptibles si nous y faisons attention : coups de pompe, réponse agressive non nécessaire ou une irritabilité ponctuelle mais démesurée, baisse de libido, démangeaisons, boutons... un simple rhume auquel en temps ordinaire nous aurions résisté. Bref, des petits dérèglements du quotidien.

Parfois ce sera la parole d'un collègue ou d'un proche « qu'est que tu as en ce moment ? Tu es agressif ? Tu ne m'écoutes plus ? » qui nous mettra la puce à l'oreille, à la double condition qu'il ose et que nous sachions entendre. Troisième solution, nous sommes le seul à percevoir ces signes précoces qui peuvent aussi passer inaperçus... se lever contrarié le matin sans envie de parler, notre entraînement hebdomadaire nous pèse, nos meilleurs amis nous semblent pénibles... mais personne autour de nous ne nous envoie de message...

Les signes avancés

Ne pas tenir compte de ces signes précoces risque qu'ils se transforment en signes avancés. Parmi les plus courants des signes avancés de stress : hypertension artérielle, taux de cholestérol, douleurs dans la poitrine, douleurs dans les yeux ou sensations de lourdeurs dans la tête, brûlures d'estomac, sommeil plus perturbé et crainte d'insomnies répétitives, isolement dans notre mal-être, dos fait souffrir... Naturellement, nous ne cumulerons pas tous les signes avancés mais chacun d'entre eux doit nous inciter à évaluer notre état réel et la situation de stress éventuel. Il est encore temps de mettre en place des solutions avant que ces signes avancés ne se traduisent en symptômes révélateurs d'un état de stress majeur proche du burn out.

Stress et santé mentale

Des troubles psychologiques : crises d'angoisse et comportements obsessionnels montent en intensité avec le stress.

L'anxiété atteint de tels sommets qu'elle déclenche des douleurs physiques insoutenables parfois diagnostiquées à tort comme un infarctus.

Les individus soumis au stress sur une longue période sont plus sujets aux peurs irrationnelles, aux changements d'humeur et aux phobies, et présentent plus de risques de dépression, de colère et d'irritabilité. Et tous ces troubles ont de sérieuses répercussions.


Répercussions sur les décisions

Un niveau élevé de stress peut rapidement nuire à un individu dans sa capacité de décision, notamment s'il perd confiance en lui.

Sa santé, sa famille et sa carrière en pâtissent, car le stress affecte inévitablement l'entourage.

Certains en arrivent à négliger leur santé car ils attribuent au stress des signes physiques de maladie. Ils se disent, ça va passer... et pourtant c’est une sonnette d’alarme.

Une mauvaise décision prise au travail ou à la maison peut provoquer des accidents ou des disputes, des pertes financières, ou même la perte d'un emploi.


Répercussions sur la famille

Le stress peut briser des couples et des familles. L'augmentation du nombre de divorces provient en partie de la montée rapide du stress sur les lieux de travail, surtout lorsque les deux partenaires travaillent à plein temps.

Les parents sont tiraillés entre le désir de s'occuper de leurs enfants et celui de poursuivre une carrière professionnelle. Il faut donc trouver un équilibre entre les impératifs du travail et ceux du foyer pour assurer le plus possible à nos enfants un avenir libéré du stress.


Corps et esprit ne font qu'un...

L'interdépendance du corps et de l'esprit signifie que les symptômes physiques du stress qui affectent l'organisme affectent également le fonctionnement mental et l'équilibre psychologique. Selon le degré de gravité du stress, les symptômes émotionnels et mentaux sont plus ou moins prononcés.

Tel que je l’ai mentionné précédemment, nous avons tous une façon particulière de réagir au stress.

Certains ressentent des signes physiques comme une tension musculaire et de la difficulté à dormir (insomnie). La plupart des signes surviennent peu de temps après un événement stressant. D'autres apparaissent plus rapidement : sensations de nausée, difficultés à respirer ou sécheresse de la bouche, mais tous peuvent, bien entendu, avoir d'autres causes que le stress. Si vous êtes sujet aux migraines, par exemple, n'en tirez pas de conclusions hâtives. Et pensez que certains symptômes du stress tels que l'hypertension et les maladies du coeur peuvent mettre votre vie en péril.

Les réactions mentales typiques sont le flot ininterrompu des pensées et la difficulté à se concentrer, comme si notre esprit s'était emballé et ne pouvait plus s'arrêter (le petit hamster). C'est pourquoi il est souvent impossible de dormir quand nous sommes stressés : un esprit surexcité ne laisse pas en paix.

Au niveau du cerveau, des déconnexions neuronales s'opèrent qui empêchent une bonne circulation des informations entre ses parties : le néo-cortex, le cerveau limbique et le cerveau reptilien (Voir les chroniques Cerveau -1 / Cerveau -2 /). Ces perturbations dans les échanges d'informations sont fortes de conséquences.

Au niveau émotionnel, les conséquences du stress sont également nombreuses. La plupart du temps, les effets se manifestent par des modifications du comportement ou des troubles physiques. (Voir les chroniques Émotions -Liste / Émotions /)

Les individus stressés présentent plus de risques que les autres d'adopter des comportements destructeurs. À force de sautes d'humeur et de caprices, deux symptômes classiques du stress, l'individu stressé détériore ses relations avec ses collègues de travail, voire ses amis et sa famille. Dans certains cas, il s'enferme dans un cercle vicieux de perte de confiance pouvant aboutir à la dépression.

Déceler les réactions émotionnelles anormales et les modifications de comportement qui en découlent permet de détecter le stress. En effet, le stress peut transformer un fumeur occasionnel en fumeur invétéré et un buveur de salon en alcoolique. Certains n'ont même pas conscience qu'ils se laissent aller, d'autres en ont conscience et vont très loin pour cacher leur comportement autodestructeur à leurs amis, leur famille et leurs collègues.

Des études montrent que des individus fortement stressés (à cause du décès du conjoint, chômage...) présentent une baisse significative, dans le sang, des lymphocytes, les cellules chargées de produire les anticorps. C'est pourquoi le fait d'être stressé rend plus fragile aux infections. Il est facile de le remarquer facilement sur soi-même : lorsque nous sommes mal dans notre peau, nous attrapons plus facilement une grippe, une angine ou une sinusite. À l'inverse, si nous sommes en pleine forme, nous ne serons pas affectés par les infections virales.

Nous l'avons vu, les conséquences que le stress peut à long terme avoir sur la santé physique et psychologique sont nombreuses :

Fatigue, insomnie, épuisement, maux d'estomac, problèmes de peau, douleurs au dos, hypertension, déficience du système immunitaire, migraines, perte d'estime de soi, panique, angoisse, burn-out, dépression, etc.

Si la situation stressante se prolonge dans le temps et/ou si elle est très intense, l'organisme s'épuise. Les différents symptômes s'aggravent et/ou se prolongent entraînant des altérations de la santé qui peuvent devenir irréversibles.

L'état de stress devient alors permanent et peut se traduire par un « syndrome métabolique », association de différents symptômes tels que l'obésité abdominale, la résistance à l'insuline (qui peut évoluer vers un diabète), l'hypertension artérielle, des perturbations du métabolisme des lipides. Ces perturbations métaboliques sont, en outre, des facteurs de risque pour le système cardiovasculaire.

Aussi, les relations entre certains facteurs professionnels de stress et le risque d'accident cardio-vasculaire ont été très largement étudiées : on a ainsi pu démontrer un risque accru de maladies coronariennes et même de décès par maladies cardio-vasculaires chez des personnes exerçant une activité professionnelle sans grande marge de manœuvre (faible contrôle). D'autres études ont montré que l'association d'une forte demande psychologique et d'un faible contrôle était liée à un risque de mortalité cardio-vasculaire.

La dépression et l'anxiété ont été largement explorées dans des situations de stress au travail. Des études ont mis en évidence qu'une forte demande psychologique au travail, associée à une faible latitude décisionnelle et à un faible soutien social au travail (manque d'aide ou de soutien de la part des collègues ou des supérieurs), étaient prédictifs de dépression, autant chez les hommes que chez les femmes. Les problèmes d'anxiété sont également plus fréquemment retrouvés en cas de situations stressantes prolongées.

Les troubles musculo-squelettiques du membre supérieur sont de plus en plus souvent rapportés à une combinaison de risques : sollicitations biomécaniques au travail (résultant de mouvements répétitifs), mais aussi manque de soutien social ou insatisfaction dans le travail.

La diminution de la résistance aux infections ou l'apparition de maladies immuno-allergiques telles que l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux et la colite ulcérative ont également été rapportés à des situations stressantes prolongées.


Conséquences du stress au sein de l'entreprise

Le stress engendre des coûts importants pour l'entreprise car il se répercute de manière mesurable au niveau de la gestion des conflits, au niveau de la planification, de la prise de décision, de la communication, de la gestion d'équipe et bien sûr au niveau de la performance...

Stress au niveau de la performance

Difficultés de concentration

Manque de créativité

Perte de motivation

Fatigue permanente

Moins d'efficacité et de fiabilité

 

Stress au niveau de la gestion d'équipe

Absentéisme

Mauvaise gestion des priorités et des ressources

Diminution de la performance d'équipe, de la motivation

Perte de l'esprit d'équipe et conflits

Stress au niveau de la communication

Absence de vision positive

Difficultés à rester objectif

Manque de clarté

Communication absente ou réactive

Incapacité à écouter

 

Stress au niveau de la prise de décision

Décisions émotionnelles

Difficultés à réfléchir, manque de concentration

Décisions erronées

Doute sur la décision à prendre

Stress au niveau de la planification

Mauvaise gestion du temps

Perte du sens des priorités

Planification à court terme sans vérifier le moyen et le long terme

Pression sur les autres

Stress au niveau de la gestion des conflits

Augmentation des conflits

Manque d'explications

Sentiment d'être dépassé, impuissant

Difficultés à prendre de la distance, à être objectif

Réactions émotionnelles

 

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Sylvie Savard, pédagogue

Hypnothérapeute - Maitre-praticienne PNL - Technicienne en Hypnose Humaniste. 

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Contact - 819-347-7664 (Message ou Texto) -  sybille6936@gmail.com
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​Horaire flexible

Tarif : 80 $ / rencontre.
Paiement en argent ou via Transfert par courriel.

Reçu : En naturopathie, reçu électronique
Membre de l'Association Ritma

Bibliographie
http://gerersonstress.org/causesdustress4.html
http://psydoc-fr.broca.inserm.fr/colloques/cr/Stressimmunite/defstressTh.html - Dr Jean-Michel Thurin
http://ww1.fmcoeur.ca/Page.asp?PageID=907&ArticleID=478&Src=living&From=search
http://www.acsm-ca.qc.ca/virage/enfance-jeunesse-famille/stress-et-art.html
http://www.alasanteglobale.com/selye.html
http://www.ast67.org/PDF/anpe.pdf
http://www.com2crise.com/article.php3?id_article=60#2
http://www.gestiondustress.ch/rubrique.php3?id_rubrique=44
http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/IntranetObject-accesParReference/Dossier%20Stress/$File/Visu.html#ancre10
http://www.jeancoutu.com/francais/sante/guide_sante/contenu.cfm?rv_cont_id=166
http://www.mutsoc.be/NR/rdonlyres/7D35E318-54DF-448E-A181-9136076E8D18/398/Le_stress.pdf
http://www.travail.gouv.fr/IMG/pdf/2006.02-06.3.pdf
http://www.webwiller.com/stress/stress01.htm