ANCRAGE
L'ancrage fait
partie de mon coffre à outils.
C'est une technique qui donne des résultats rapides
et qui est facile d’apprentissage.
Dans
cette chronique, je partage avec vous des notions sur les points d’ancrage,
une technique qui donne des résultats rapides et qui est facile
d’apprentissage.
ANCRAGE
Utilisé
très couramment en PNL, comme en hypnose, l'ancrage permet d'apporter un
état interne de ressources comme : le calme, la force, la sérénité, la
conviction... lorsque la personne en a besoin.
Qu’est-ce donc qu’un ancrage ?
Avez-vous entendu parler du chien de Pavlov ?
C’est en étudiant les fonctions gastriques du chien
que Pavlov, physiologiste russe, découvrit ce que l’on appelle aujourd’hui le «
réflexe conditionnel » ou « réflexe de Pavlov ».
L’expérience est la suivante : au même moment que
l’on présente à un chien affamé une belle portion de viande, on fait retentir
une sonnette et on répète cette expérience plusieurs fois.
On amène ensuite le chien, et on fait retentir la
sonnette. Alors qu’il n’y a pourtant rien à manger, le chien se met à saliver !
Pavlov a ainsi « conditionné » le chien à saliver à l’écoute de la sonnette. On
dit alors que la sonnette joue le rôle d’un ancrage.
Des ancrages, on en a tous inscrits en nous :
rappelez-vous une odeur de soupe fumante, de tarte aux pommes ou aux bleuets...
ne vous a-t-elle jamais replongé dans une expérience passée ?
Une musique qui vous rappelle un moment inoubliable
de votre vie, ne vous a-t-elle jamais fait un effet similaire ?
Et bien, tout cela constitue des ancrages.
J’ai (et j'ai eu) la chance de rencontrer des gens
qui me confient qu’ils aimeraient bien changer certains comportements,
qu’ils sont fatigués d’être mal à l’aise devant telle personne ou telle
situation, qu’ils sont stressés, ont des peurs, des douleurs, des
appréhensions…
Avec comme bagage, mes formations en hypnose et en
PNL (Programmation neurolinguistique) et certaines expériences...
Je me permets de présenter quelques observations,
outils et exercices que j’ai utilisés et transmis à mes élèves, collègues,
employés, amis, enfants et clients.
Ce qui est certain, c’est que nous possédons des
pouvoirs que nous pouvons exploiter pour nous permettre de mieux réussir et
d’améliorer notre vie, notre développement et ceux des autres.
La PNL fait partie de mon coffre à outils. J’ai utilisé et transmis
beaucoup de ces outils à mes élèves, collègues, employés, amis… aujourd’hui, je
partage avec vous sur les points d’ancrage, une technique qui donne des
résultats rapides et qui est facile d’apprentissage.
La technique d’ancrage consiste à associer un
stimulus (auditif, visuel ou kinesthésique -geste, image, son, contact, odeur,
voix, situations … ou n'importe quel accessoire) à un sentiment positif. A
chaque fois que ce stimulus « porte-bonheur » est répété, la
sensation réapparaît.
Les ancrages, dont le principe de fonctionnement
est celui du conditionnement (comme
pour le chien de Pavlov), permettent de déclencher des comportements spontanés.
Deux types d’ancre :
- Les ancres positives rappellent des états
internes ressources, positifs (concentration, efficacité, dynamisme,
confiance…)
- Les ancres négatives rappellent des états
internes limitants, négatifs (peur, doute, incompréhension…)
Types d’ancrages :
- Ancrage auditif : choisir par exemple
une expression particulière, un petit groupe de mot, avec un ton, un tempo ou
une hauteur de voix inhabituels.
- Ancrage visuel : choisir par exemple
une image, un geste, un endroit dans l’espace.
- Ancrage kinesthésique : choisir un
contact (main sur l’épaule…).
Technique des points d’ancrage
La technique des points d’ancrage vous rend capable
de transformer vos représentations internes ou votre physiologie en un instant
et d’atteindre ainsi de nouveaux résultats positifs ; cela requiert un effort
conscient, bien sûr. Par cette technique, vous créez un mécanisme constant de
déclenchement qui vous entraînera automatiquement à engendrer l’état désiré
sans que vous ayez à y penser. En vous constituant des points d’ancrage
suffisamment solides, vous les retrouverez chaque fois que vous en aurez
besoin.
Grâce à vos points d’ancrage, vous aurez accès à
vos ressources les plus riches et ils vous permettront d’être certains de
pouvoir puiser à chaque instant dans ces ressources.
La technique des points d’ancrage peut se révéler
particulièrement efficace lorsque vous voulez surmonter des peurs et changer de
comportement.
Alors, allons-y pour une petite
expérience !
Servez-vous de votre imagination, de vos
sensations, de votre visualisation, de votre sens de l’écoute, de sentir, de
goûter… et imaginez que vous vous parlez et que vous vous dites, par
exemple : (ça peut être autre chose, bien sûr !)
J’entends
une musique qui me rappelle mon premier chum ou ma première blonde, je soupire…
cette musique me rappelle de merveilleux moments.
Vous avez peut-être encore ce souvenir en vous ?
Fermez les yeux et rappelez-vous, ressentez, revivez, entendez, voyez…
l’endroit, les couleurs, les sensations, les odeurs, les gens, les mouvements,
les sons, les circonstances…
J’entends
ou je vois un mot qui me fait avoir la chair de poule : cela me ramène à
une période de ma vie où ce mot a une signification intense pour moi (qu’elle
soit positive ou négative).
Vous avez peut-être encore ce souvenir en vous ?
Fermez les yeux et rappelez-vous, ressentez, revivez, entendez, voyez…
l’endroit, les couleurs, les sensations, les odeurs, les gens, les mouvements,
les sons, les circonstances…
Je sens
un parfum ou une odeur et à l’intérieur de moi, je suis bouleversée : hum
! j’aime ce parfum, cette odeur, je ne sais pas pourquoi… cette senteur est
reliée à quelqu’un ou à un moment de ma vie, c’est ancré en moi.
Vous avez peut-être encore ce souvenir en vous ?
Fermez les yeux et rappelez-vous, ressentez, revivez, entendez, voyez… l’endroit,
les couleurs, les sensations, les odeurs, les gens, les mouvements, les sons,
les circonstances…
Je
touche un tissu qui me rappelle la douceur de mon enfance.
Vous avez peut-être encore ce souvenir en vous ?
Fermez les yeux et rappelez-vous, ressentez, revivez, entendez, voyez…
l’endroit, les couleurs, les sensations, les odeurs, les gens, les mouvements,
les sons, les circonstances…
Vous
passez à un endroit où vous avez eu un accident, vous vous sentez mal,
inconfortable… votre cerveau, votre inconscient se souvient et
physiologiquement vous rappelle à ces souvenirs ancrés en vous…
bouleversements, respiration plus rapide, envie de pleurer, peurs… vous
voudriez bien changer ou modifier ce que vous ressentez… comment ?
Tous ces exemples sont des ancrages positifs
ou négatifs. Bien sûr, quand je parle d’ancrage, nous en avons plein et
nous n’en sommes pas toujours conscients.
Imaginez un instant tout ce que vous avez entendu,
vu, ressenti depuis que vous êtes nés, toutes les traces, tous les sillons…
tout ce qui reste au fond de vous et qui fait que vous êtes ce que vous êtes
aujourd’hui. C’est bien ancré en vous, c’est merveilleux et parfois, cela peut
encore faire des ravages lorsque ces ancrages sont négatifs.
Que de peurs, que d’incertitudes, que de comportements…
vous ne pouvez expliquer, contrôler, changer et qui proviennent de ces
expériences de vie !
Vous avez le pouvoir de dire à
votre cerveau : assez, c’est assez !
Et, je vous ouvre mon coffre à outils !
Faits vécus
Un matin, une élève se met à pleurer à chaudes
larmes pendant un cours que je donnais. Je sors de la classe avec elle et je
lui demande qu’est-ce qui se passe ? Elle m’assure que ce n’est pas à cause de
moi. Je lui dis : « Mais encore…, il y a sûrement une raison pour que tu
te mettes à pleurer de cette façon ? » Elle me confie qu’elle doit se rendre à
l’hôpital dans l’après-midi pour des prises de sang et qu’elle a une phobie des
piqûres.
J’ai fait avec elle un exercice d’ancrage que je
lui ai demandé de répéter quelques fois jusqu’à ce qu’elle se rende à
l’hôpital. Le lendemain matin, elle arrive de bonne humeur, souriante, enjouée.
Elle vient me voir et m’affirme qu’elle n’a plus peur des piqûres. Elle a
utilisé son ancrage (stimulus) avant d’arriver à l’hôpital et tout s’est très
bien passé. Les autres élèves qui ont entendu cela et qui connaissaient sa
phobie des piqûres voulaient savoir ce qui c’était passé et qu’est-ce que
j’avais fait, quel truc j’avais donné à Marie (Marie est le nom que je donne quand
je ne veux pas identifier la personne).
Je leur ai décrit la technique des points
d’ancrage, tout en leur expliquant que cela pouvait servir en tout
temps : gérer le stress avant un examen ou avant la
rencontre avec notre amoureux, une rencontre soudaine qui nous dérange, un
moment difficile à vivre, un changement de comportement souhaité…
J’ai essayé ces techniques avec des centaines de
personnes, à qui je demandais de me dire si cela fonctionnait, sans qu’elles
soient obligées de me donner les détails. Je puis vous assurer que cela
fonctionne. Je vous en présente quelques unes.
Ancrage avec
stimulus
En débutant chaque exercice, choisissez un endroit
où vous êtes à l’aise, pensez toujours à prendre de bonnes respirations et
concentrez-vous.
Vous devez vous choisir un stimulus. Ça peut
être : se pincer une oreille, se toucher un doigt, se toucher le genou, ça
peut être un son… c’est quelque chose de physique qui, dès que vous
l’utiliserez vous ramènera dans l’état de bien-être souhaité.
Le stimulus doit être unique en
son genre, car si c’est quelque chose que vous faites habituellement, cela ne
constituera pas un point d’ancrage efficace, puisqu’il n’a rien d’exceptionnel,
et votre cerveau aura du mal à y déceler un signal spécifique. Il faut répéter
quelques fois ce processus pour en venir à n’utiliser que le stimulus (le
toucher ou le son). Pour ressentir cette euphorie, vous n’aurez plus besoin de
refaire l’exercice au complet, vous n’aurez qu’à faire le geste ou le son que
vous avez choisi.
Je vous donne le mien : je prends mon pouce et
mon index de la main gauche et j’exerce une pression avec ces deux doigts.
Quand j’utilise ce stimulus, cela me ramène à la situation que moi j’avais
choisie et dans laquelle je me retrouve dans un état de bien-être total et en
pleine possession de mes moyens.
Voici
comment cela se déroule
Endroit calme - Respiration – Concentration
Souvenez-vous d’une époque de votre vie (un voyage,
une danse, une musique, une lecture, une voix, un moment spécifique…) peu
importe ce que vous choisissez, c’est vous qui décidez, selon que vous êtes
auditif (vous entendez), visuel (vous voyez) ou kinesthésique (vous ressentez)…
voyez les couleurs, les mouvements, les sons, les odeurs, les formes… les
sensations, les ressentis...
Cet épisode ou ce moment de votre vie est agréable,
tendre, doux, harmonieux… vous vous surprenez à sourire quand vous pensez à ce
moment, votre respiration change, vous pouvez même soupirer. Vous vous sentez
bien, de bonne humeur, voire euphorique, … vous pourriez déplacer des montagnes
tellement vous êtes bien.
C’est cet état euphorique que vous
aimeriez revivre dès que vous le voulez peu importe la
situation, les gens, l’endroit et le moment.
On recommence… mais avant, choisissez un geste inhabituel
que vous allez reproduire après l’exercice et qui deviendra votre ancrage.
Revivez cette expérience afin de vous y associer
(vous faites partie du film qui se déroule dans votre tête), voyez les
couleurs, détectez les mouvements, entendez les sons, humez les odeurs, goûtez,
salivez, imaginez les formes… c’est peut-être flou, seulement une perception,
des sensations, des ressentis... et constatez les effets à
l’intérieur de vous comme à l’extérieur de vous.
Au moment où vous vous sentez revivre ce
merveilleux moment, faites le geste physique et soutenu (celui
que vous avez choisi), comme si vous vouliez laisser une trace sur votre corps
ou vous pouvez émettre un son : hum ! ouf ! oui ! (ces sons
doivent rappeler que c’est agréable, bien entendu ! Ils doivent résonner à vos
oreilles comme des sons joyeux et mélodieux.)
Pendant cette expérience, tout est important :
la posture, la respiration, ce que vous vous dites (le ton) dans la tête, les
sons, les sensations, les ressentis, les couleurs, les mouvements… tout votre
corps doit participer de façon intense.
Votre respiration revient naturellement, vous êtes
calme, concentré. Vous êtes capable de prendre des décisions éclairées, de
parler en public, de trouver des solutions, de rencontrer ou croiser n’importe
qui…. Vous êtes en pleine possession de vos moyens, vous reprenez votre pouvoir
et vous ne laissez pas aux autres ou aux situations d’avoir un pouvoir sur
vous.
Quand vous êtes stressé (peu importe la
raison) : faites le geste ou le son de votre ancrage, en prenant de bonnes
respirations. Vous redeviendrez calme et en pleine possession de vos moyens.
Contrecarrer des points
d’ancrage négatifs et créez un point d’ancrage positif puissant.
Pensez à l’expérience positive la plus puissante
que vous ayez vécue. Placez cette expérience et les sentiments qui y sont
associés dans votre main droite. Faites un effort d’imagination
afin de ressentir l’impression que cela vous donne.
Pensez ensuite à un moment où vous vous êtes senti
totalement fier de ce que vous faisiez, et placez cette seconde expérience
passée dans votre main droite.
Puis faites de même avec un moment où vous vous
êtes senti totalement aimant, positif, plein de ressources, et à un moment où
vous avez ri tout votre soûl.
Maintenant, ressentez tout ce que vous avez placé
dans votre main droite.
Quelle est la couleur qui vous vient en tête ?
Quelle forme ont-ils pris tous ensemble… s’il y avait un son, quel serait-il ?
Quelle texture ont-ils ? S’ils devaient vous dire tous ensemble quelque chose
de positif, que vous diraient-ils ? Prenez plaisir à les sentir là, vous faites
partie de ce film… puis refermez sur eux votre main droite en les y laissant.
Ouvrez maintenant votre main gauche et
placez-y une expérience négative liée à la colère, à la dépression, à la
frustration, à quelque chose qui vous a profondément troublé et vous trouble
peut-être encore. Cela peut être quelque chose qui vous fait peur, qui vous
inquiète…
Mettez cette expérience dans votre main gauche. Ne
cherchez pas à la sentir, assurez-vous que vous vous en dissociez (vous
regardez ce film, vous n’êtes pas dans le film ; vous êtes observateur).
Quelle couleur apparaît, qu’est-ce que vous
ressentez, quelle forme, quelle texture, quel poids, quel son, quelle phrase
elle vous adresserait ?
Maintenant, procédons à la chute des points
d’ancrage, c’est un petit jeu très facile et amusant, c’est vous qui
décidez de la façon de jouer.
Par exemple : prendre la couleur qui existe
dans votre main droite, imaginez que c’est un liquide et la verser très
rapidement sur votre main gauche, en faisant des drôles de bruits, en vous
amusant. Recommencez jusqu’à ce que le point d’ancrage négatif de votre main
gauche ait pris la couleur de l’expérience positive de votre main droite.
Ensuite, prenez le son de votre main gauche et
jetez-le dans votre main droite. Prenez les sentiments de votre main droite et versez-les
dans votre main gauche… amusez-vous et observez ce qui se passe dans vos deux
mains.
Frappez vos mains l’une contre l’autre, gardez-les
unies pendant quelques instants jusqu’à ce que vous les sentiez équilibrées.
Dans les deux mains, vous devriez avoir la même couleur, les mêmes sentiments…
Regardez ce que vous ressentez envers l’expérience
que vous aviez placée dans votre main gauche. Il y a de fortes chances pour que
vous lui ayez enlevé tout pouvoir de vous inquiéter ou de vous troubler.
Si cela n’est pas comme vous le souhaitez,
recommencez, choisissez de nouvelles façons de jouer, amusez-vous…
Vous devriez vous sentir bien, ou tout au moins
dans un état neutre, face à cette expérience.
Modifier ce que vous
ressentez face à pratiquement n’importe qui ou n’importe quoi.
Par exemple, vous désirez changer ou atténuer les
sentiments négatifs que vous éprouvez pour quelqu’un.
Visualisez le visage d’une personne que vous aimez
beaucoup dans votre main droite et celui de la personne que
vous n’aimez pas ou qui vous dérange ou vous perturbe dans votre main
gauche.
Regardez tout d’abord celle que vous n’aimez pas
(qui vous dérange ou vous perturbe), puis celle que vous aimez, et ainsi de
suite.
Faites-le de plus en plus vite sans plus donner de
noms à ces visages.
Serrez vos mains l’une contre l’autre, respirez,
attendez un instant.
Puis pensez à la personne pour qui vous éprouviez
des sentiments négatifs.
Maintenant, vous la trouvez bien, ou tout au moins
pas antipathique ou perturbante.
Superposition
positif/négatif
Prenez de grandes respirations, concentrez-vous,
soyez à l’aise.
Dans votre tête, choisissez la couleur qui semble
vous donner le plus de ressources. Choisissez une forme, un son, une sensation,
que vous associerez à cet état positif.
Dites-vous ensuite une phrase que vous prononceriez
si vous vous sentiez plus heureux, plus concentré et plus fort que vous ne vous
êtes encore jamais senti.
Pensez maintenant à une expérience désagréable, à
quelqu’un qui provoque en vous des sentiments négatifs, ou à quelque chose dont
vous avez peur.
Placez alors cette expérience désagréable (personne
ou peur) à l’intérieur de la forme positive de tout à l’heure, comme si vous
étiez absolument persuadé que vous pouviez y emprisonner vos sentiments
négatifs, puis recouvrez le tout de votre couleur préférée, jusqu’à ce que
l’image négative disparaisse. Faites intervenir de même le son et la sensation
positive et dites la phrase qui correspond à votre état le plus fécond.
Tandis que l’expérience positive se dissout dans
votre couleur préférée, dites les mots qui renforcent votre pouvoir.
Que ressentez-vous maintenant face à cette
expérience négative ? Il y a de fortes chances pour que vous ayez désormais du
mal à comprendre ce qui vous troublait tant jusque-là.
Refaites cet exercice avec d’autres expériences
négatives, puis faites-le faire à des amis.
Pensez à tout le bien que vous pourriez faire en
apprenant à provoquer des états positifs non seulement à vous, mais aussi chez
les autres !
Sylvie Savard, pédagogue
Hypnothérapeute - Maitre-praticienne PNL
(Approche Bonhâme) - Technicienne en Hypnose Humaniste
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Reçu : En naturopathie, reçu électronique
- Membre de l'association Ritma
Bibliographie
Robbins, Anthony Pouvoir illimité.
http://www.esculape.com/psychiatrie/pnl.html
http://www.jecommunique.com/lexique_des_termes_de_la_pnl.htm
